LA CHUTE DE LA GRANDE BABYLONE
Une partie du chapitre 14 suivit par le chapitre 18, dans son entièreté, nous décrivent : BABYLONE LA GRANDE
Et un autre ange, un second ange, le suivit
et dit: elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, elle qui a abreuvé toutes les nations du vin
de sa fureur de prostitution. Apocalypse 14 : 8
Ce texte nous mentionne maintenant Babylone la grande. C'est une
référence aux enseignants de cette religion et non à la religion elle même ou aux croyants des
enseignements du prophète Mahomet. C'est un avertissement divin nous disant que ces enseignants
religieux n'enseignent pas bien leur religion. Dieu l'appelle "Babylone la Grande". Un peu plus loin Dieu
nous dit qu'elle est une grande prostituée, voulant dire que leurs enseignants religieux ont pollués les
enseignements qu'il furent donnés par leur prophète, ils n'enseignent plus la verité telle qu'elle leur fut
donné originalement.
Après que certains faux enseignements seront détruits par Dieu
lui-même; il nous dit, par l'intermédiaire d'un de ses anges, qu'il se vengera contre ceux qui
s'attachent encore à ces faux enseignements. Ils se tourmenteront par le feu, ce qui représente
des tourments.
Il y eut une autre corruption du texte original dans la prophétie dont nous venons d'étudier. La
dernière partie de la prophétie devrait se lire la persévérance des saints qui gardent les
commandements et leur foi en Dieu. Un Messager Divin ne se réfère jamais par son propre nom, le
nom
de Jésus n'appartient pas à cette prophétie car ce chapitre-ci se réfère seulement qu'à
la religion Musulmane. C'est une autre preuve irréfutable qu'une autre partie de ce texte fut pollué. Le
nom de Jésus y fut ajouté, tout probablement par les premiers traducteurs de l'église Chrétienne.
LA CHUTE DE BABYLONE LA GRANDE
Le chapitre dix huit de l'Apocalypse nous décrit, symboliquement, la chute de
la grande Babylonienne. Cela est encore décrit en Allégorie.
Jean vit un autre esprit angélique descendre du Royaume divin, il illuminait
tout autour de lui et Il semblait être très puissant. Qui était-il? Nous découvrirons bientôt
que ce fut le Christ revenu, il fut cet esprit angélique.
Jean entendit l'esprit angélique qui s'écria d'une voix puissante. Il fit une
mention de Babylone la grande qui représente le clergé qui ont pollués les vrais enseignements
spirituel qui furent donnés à l'humanité. La prophétie nous dit maintenant que certains de ces
enseignants religieux sont des esprits impurs qui sont odieux aux yeux de Dieu. La raison : c'est tout
probable qu'ils n'enseignent pas la vérité car ils ne la connaissent pas, ne l'ayant jamais recherché.
Ce que cette prophétie nous annonce c'est que Babylone la grande, la
grande cité qui représente le cercle religieux, tomba dans la stupeur en 1844 quand le jeune prophète
de Chiraz donna naissance à de nouveaux enseignements qu'il donna aux peuples du continent
de l'Asie. Il était un grand précurseur. Michel le suivit, en 1853, et donna à notre monde les
principes nécessaires pour la continuation de l'évolution de l'humanité.
Alors Babylone la grande tomba en 1844 et elle fut remplacée par une nouvelle religion qui fit son
apparition en terre sainte en 1863. La plupart du monde entier ne l'ont pas encore découvert. Elle nous
fut envoyé par Dieu lui-même. Nous pouvons croire la preuve de son existence d'après le
contenu
de l'Apocalypse qui fut écrit par l'apôtre Jean. Les bonnes personnes se font maintenant dire de sortir de leur cité, voulant
dire de leur religion qui leur fut faussement enseigné. Sinon, ils sont dit qu'ils participeront à
tous les fléaux destinés aux enseignants de leur religion. Tous ces fléaux les frapperont dans moins
d'une année (une journée de prophétie).
Si vous suivez les nouvelles concernant l'Afghanistan, vous comprenez certainement que Dieu a
maintenant aboli les faux enseignements donnés par les religieux dans ce pays.
Éventuellement,
d'autres faux enseignements religieux disparaîtront aussi ailleurs pour ne plus jamais
ré-apparaître. L'apocalypse nous dit qu'elle sera consumées par le feu. Cela veut dire,
symboliquement, que ses faux enseignements seront détruits.
Beaucoup de bonnes personnes prendront cet avis, ils trouveront et accepteront les nouveaux
enseignements de la nouvelle Révélation que Dieu nous envoya pour l'ère nouvelle qui
commença en 1844, c'était l'éveillement de l'ère du verseau.
Beaucoup de ces bonnes personnes ont déjà acceptés les nouveaux enseignements, ils se
sont embarqués dans cette nouvelle mode de vie qui est devenu mondiale. Ils ont découvert la vérité
car ils l'ont recherché. L'horreur sera sur le visage de ceux qui appartiennent et qui ne veulent pas
délaisser ce faux système, cette fausse cité qui est devenue une fausse religion. L'horreur de la voir
s'en aller à la perdition se verra sur leurs visages, elle s'en ira à la perdition dans un
petit espace de temps. Quand ils auront l'horreur de voir les faux enseignements de leur religion
disparaître à jamais; ils diront Malheur ! Malheur ! Ne réalisant pas que chaque malheur
représente la venue d'un nouveau Messager divin. Il faut se rappeler que les deux derniers malheur
représentent la venue du jeune prophète de Shiraz, en 1844, et de Michel, en 1853. Alors, ces écrits
nous décrivent la mort spirituelle de la septième grande religion qui fut en 1844. Elle fut mentionné
dans le troisième chapitre apocalyptique.
Le fruit que désirait ton âme s'en est allé loin de toi. Tout ce qui est raffinement et splendeur
est perdu pour toi. Jamais plus on ne le retrouvera. Les marchants qu'elle avait enrichis de ce
commerce, se tiendront à distance par crainte de son tourment. Dans les pleurs et le deuil, ils
diront : Malheur ! Malheur ! La grande cité, vêtue de lin, de pourpre et d'écarlate, étincelante d'or,
de pierres précieuses et de perles, il a suffit d'une heure pour dévaster tant de richesses ! Et tous les
pilotes, tous ceux qui naviguent dans les parages, les marins et tous ceux qui vivent de la mer, se
tenaient à distance. Apocalypse 18 : 11 à 18 : 17 Tous ceux qui firent affaires avec les gouvernants de cette religion se
lamenteront car ils ne peuvent plus faire un échange de biens entre eux-mêmes. L'économie est
tombée à sec et il n'y a plus moyens de ne rien acheter ou de vendre quoi que ce soit.
Les deux derniers malheurs mentionnés dans l'Apocalypse furent la venue du Jeune prophète de
Shiraz, en 1844, et de celle de Michel, en 1853. Les nouveaux enseignements, que Dieu envoya
à l'humanité par l'intermédiaire de ses nouveaux messagers et au commencement de l'ère du
verseau, causeront éventuellement la défaite des faux enseignements qui existent présentement dans
certains endroits de notre planète. Dieu a passé son jugement sur la grande Babylone qui est la cité (la
religion) des faux esprits impurs et des enseignants malsains. Les faux enseignements de cette cité
(religion) seront détruit pour ne plus jamais réapparaître sur la terre. C'est la justice de Dieu pour
notre planète, la terre. Certains enseignants ont causés beaucoup trop de désarroi parmi les peuples
de la terre et Dieu nous dit qu'il en a plein son chapeau. Dieu dit aussi de se réjouir de la ruine de la
grande Babylone car sa destruction est sa vengeance et sa justice divine contre elle. De faux
enseignements furent récemment détruits en Afghanistan, d'autres ailleurs les suivront.
Nous avons précédemment découvert qu'une cité mentionné dans un livre saint représente
presque toujours une religion. Un exemple fut la suivante dont nous avons déjà étudié : la cité de
Dieu,
la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel. Elle représente la nouvelle révélation, la nouvelle religion
que Dieu nous envoya en 1863 et qui est divine en origine. De faux enseignements religieux ne pourront plus jamais décevoir les
nations
de notre planète. Le Grand Esprit lui-même nous dit que la lumière de la lampe, ce qui
représente
la religion, ne luira jamais plus chez elle car elle avait la séduction de toutes les nations de la terre et
elle était aussi responsable de la mort de plusieurs envoyés de Dieu et de plusieurs de ses prophètes.
Jean vient de nous dire que des enseignants religieux sont responsables de la mort de plusieurs
prophètes et de beaucoup d'autres personnes aussi. Nous savons très bien que les enseignants de
religion furent responsables de la mort du jeune prophète de Shiraz, de plusieurs des aînés de
l'Apocalypse et de presque tous ceux qui croyaient aux enseignements de ce grand précurseur. Ils
furent presque tous tués par ces chefs malsains. Plus de 20 000 d'entre eux - les croyants aux
enseignements du jeune prophète de Shiraz - périrent au siècle précédent entre les mains de ces
fanatiques qui furent dépourvus de spiritualité.
Pour information additionnelle, je vous recommande d'étudier "Dieu passe près de nous". Vous
pouvez le trouver sur l'internet. Sinon, écrivez moi et je vous l'enverrai.
Ces derniers chapitres Apocalyptiques furent très difficile à déchiffrer car les descriptions
qui nous sont données parle du passé aussi bien que du futur, comme si le temps n'existait pas et
n'était qu'un. La raison étant que le monde divin, dont vient ces descriptions, n'a pas de temps. Il existe
en dehors de notre dimension physique; le passé, le présent et le futur étant un.
La prochaine présentation du chapitre dix neuf de l'Apocalypse nous annonce, symboliquement, le
mariage de l'agneau. Cela veut dire quoi?Et un autre, un troisième ange, les suivit et
dit d'une voix forte : si quelqu'un adore la bête et son image, s'il en reçoit la marque sur le
front ou sur la main, il boira lui aussi du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de
sa colère, et il connaîtra les tourments dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant
l'agneau. La fumée de leur tourment s'élève aux siècles des sicles, et ils n'ont de repos ni le jour ni la
nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom.
C'est
l'heure de la persévérance des saints qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus.
Apocalypse 14 : 9 à 14 : 12
Je vis ensuite un autre ange descendre du
ciel. Il avait un grand pouvoir et la terre fut illuminée de sa gloire. Apocalypse 18 : 1
Il s'écria d'une voix forte: Elle est tombée,
elle est tombée, Babylone la grande; elle est devenue demeure de démons, repaire de tous les esprits
impurs, repaire de tous les oiseaux impurs et odieux. Apocalypse 18 : 2
Car elle a abreuvé toutes les nations du
vin de sa fureur de prostitution ; les rois de la terre se sont prostitués avec elle, et les marchands de la
terre se sont enrichis de la puissance de son luxe. Apocalypse 18 : 3
Et j'entendis une autre voix qui, du ciel, disait :
sortez de cette cité, ô mon peuple, de peur de participer à ses péchés, et de partager les
fléaux qui lui sont destinés. Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de
ses injustices. Payez-la de sa propre monnaie, rendez-lui au double ce qu'elle a fait. Dans la coupe
où elle a mêlé ses vins, mêlez-en pour elle le double. Autant elle s'est complu dans
la gloire et le luxe, autant rendez-lui de tourment et de deuil. Puisqu'elle dit en son coeur : je trône
en reine et ne suis point veuve, jamais je ne verrai le deuil. A cause de cela, viendront sur elle, en un
seul jour, les fléaux qui lui sont destinés : mort, deuil, famine, et elle sera consumée par le feu. Car
puissant est le Seigneur Dieu qui l'a jugée. Apocalypse 18 : 4 à 18 : 8
Alors ils pleureront et se lamenteront sur
elle, les rois de la terre qui ont partagés sa prostitution et son luxe, quand ils verront la fumée de son
embrasement. Ils se tiendront à distance par crainte de son tourment, et ils diront : Malheur!
Malheur! O grande cité, Babylone cité puissante, il a suffi d'une heure pour que tu sois jugée!
Apocalypse 18 : 9-10
Et les marchands de la terre pleurent et
prennent son deuil, car nul n'achète plus leurs cargaisons, cargaisons d'or et d'argent, de pierres
précieuses et de perles, de lin et de pourpre, de soie et d'écarlate; bois de senteur, objets d'ivoire, de
bois précieux, de bronze, de fer ou de marbre, cannelle et amome, parfums, myrrhe et encens, le vin et
l'huile, la fleur de farine et le blé, les boeufs et les brebis, les chevaux et les chars, les esclaves et les
captifs.
Et s'écriaient en voyant la fumée de son
embrasement: quelle cité était comparable à la grande cité? Ils se jetaient de la poussière sur
la tête, poussaient des cris de larmes et de deuil en disant : Malheur ! Malheur ! La grande cité
dont l'opulence a enrichi tous ceux qui ont des vaisseaux sur la mer, il a suffit d'une heure pour qu'elle
soit dévastée ! Réjouis-toi de sa ruine, ciel ! Et vous aussi, les saints, les apôtres et les
prophètes, car Dieu, en la jugeant, vous a fait justice. Apocalypse 18 : 18 à 18 : 20
Alors un grand ange puissant saisit une
pierre comme une lourde meule, et la précipita dans la mer en disant: avec la même violence sera
précipitée Babylone, la grande cité, on ne la retrouvera plus. Et le chant des joueurs de harpe et des
musiciens, des joueurs de flûte et de trompette, on ne l'entendra plus chez toi. Aucun artisan
d'aucun art ne se trouvera plus chez toi. Et le bruit de la meule, on ne l'entendra plus chez toi. La
lumière de la lampe ne luira plus chez toi. La voix du jeune époux et de sa compagne, on ne l'entendra
plus chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que tes sortilèges ont
séduit toutes les nations, et que chez toi on a trouvé le sang des prophètes, des saints et de tous ceux
qui ont été immolés sur la terre. Apocalypse 18 : 21 à 18 : 24